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Berlin Aout 88 - Chapitre I - Betty Von Baise

Chapitre 1 - Betty Von Baise.

Betty est une cadre d'une grosse société d'import export Son passé la rattrape.

Berlin Est Août 1988,

Dans une banlieue sordide, j'étais là, assise en attendant que les photographes finissent de se préparer, tendue, inquiète même. A 17 ans, je n'avais guère de choix pour pouvoir continuer mes études de droit. Je me sentais ridicule dans cette tenue de soubrette sexy, je devais faire une séance de photos dites de charme, pour un magazine. L'expression me faisait tristement sourire, séance porno, oui, appelons un chat un chat. Je jetais un regard discret vers mon futur partenaire qui lui portait bien un costume de grande classe, il était supposé être un Comte alors qu'il m'avait dit être au chômage. Il devait avoir la quarantaine passé. Son âge ne me gênait pas en soit, j'étais déjà sortie avec des hommes de cet âge. Mais jamais pour de l'argent.

Le clap du producteur me fit sursauter. Je tournais la tête vers lui. Il me fixait de ses petits yeux de myopes, chauve, grassouillet, il était le prototype du producteur, empestant le voisinage avec son gros cigare à la bouche.
- Bon Betty, tu es toute mignonne comme ça, es tu prête ? Faisant signe aux caméra-mans de commencer à filmer.
- Heu oui Monsieur Durois, je lui répondis en arrangeant la petite robe noire qui faisait ressortir mes gros seins en poire. Je savais ce que je devais faire, faire semblant d'épousseter les meubles de la pièce, en me penchant bien pour montrer mes petites fesses, les jarretelles de dentelle noire, les bas nylon couture.

Je commençais à jouer la scène devant l'acteur qui faisait semblant de lire un journal, assis sur le canapé, matant mes petites fesses que je lui montrais.
- Penches toi plus Betty, on voie rien à l'image !! Le réalisateur surveillait son écran de contrôle, me donnant des indications.

Le « Comte » se levait en posant le journal et se plaça dans mon dos et me tripota les fesses en me complimentant suivant les répliques du film. C'était d'une nullité sans nom, je me contentais de glousser comme une idiote en protestant mollement.
- Oui c'est bien Albert, tripotes la bien, au travers la robe d'abord, bien, sous la robe à présent, relève la bien que l'on voit sa culotte. Le réalisateur n'arrêtait pas de faire des commentaires. - Soupèse bien ses seins. ha Betty !! Tes seins sont merveilleux ils déchirent la pellicule.

Le faux Comte relevait mes seins en se plaquant dans mon dos, le caméra-man face à moi faisait des gros plans.
Une demi-heure plus tard le clap de fin sonnait enfin ma délivrance. J'avais subie les assauts du « Comte » à plusieurs reprises, il semblait infatigable et il s'était vidé sur mon joli minois de poupée, offrant aux photographes l'occasion de réaliser de beaux clichés de mon visage souillé de sperme épais.
- C'est bien Betty, tiens, essuies toi le visage. Le producteur en profitait pour me tripoter les fesses au passage, me tendant une serviette.
- Files prendre une douche je t'invite au restaurant ma jolie, fit-il en me claquant les fesses, espérant bien pouvoir me culbuter à la fin du repas.

Proposée par duval.bb.

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